Madame Taubira :
"J'ai toujours fait mes choix", a t-elle dit, et elle a accepté d'en payer 'le prix". "Je suis où j’ai toujours été. Je n’ai jamais été membre du PS. Et depuis 2006, je ne suis plus au PRG". Encartée dans aucun parti politique, la ministre de François Hollande cultive cette notion de liberté : "J’ai toujours eu une grand liberté. J’ai toujours eu du mal avec l’endoctrinement, avec l’encartement ».
Voilà où on en est.
Une dame qui hait la France (elle est indépendantiste).
Une dame qui hait les chrétiens (elle fait embastiller par le fait du prince un jeune chrétien qui a osé manifester silencieusement contre ses élucubrations juridico-politiques).
Une dame qui n’aime que la crapule (son premier acte de ministre a été de faire évader une crapule de la prison où elle purgeait sa peine, à la faveur d’un... match de foot entre gardiens et détenus !).
Une dame qui incarne l’idéologie jusqu’à l’absurde, jusqu’à poser l’équivalence crimes nazis = crimes de l’homme blanc = crimes de la civilisation occidentale toute entière, qui doit donc s’abîmer et disparaître dans le remords. De sorte que la loi Taubira 1, du 21 mai 2001, instaure (art. 1) en
crime contre l’humanité, sur le modèle de la destruction des juifs d’Europe, la traite négrière par les blancs,
à l’exclusion de toute autre traite, traite négrière par les arabes, traite des Européens chrétiens et blancs par les arabes, et crée (art. 2) l'
obligation d’enseignement de la repentance et de la haine de soi, et l’
obligation de création de programmes de recherche de repentance et de haine de soi, au mépris du principe de liberté intellectuelle.
Une dame qui s’est arrangée pour mettre cul par dessus tête la conjugalité et la filiation (loi Taubira 2, du 17 mai 2013 sur la création d'un mariage uraniste et d'un mariage saphique), parce que si on peut foutre en l’air le très peu qui reste d’institution stable, qui est naturellement la famille, dans l’état d’anarchie généralisé qui règne, on ne va pas s’en priver.
Cette dame-là, figurez-vous, ce petit Jean-Bedel Bokassa en jupon, manifestement recruté sur la couleur de sa peau, d’après les conceptions de la raciologie socialo-bobo, eh bien ce petit
masque a, figurez-vous, une grande indépendance d’esprit, il n’en a jamais fait qu’à sa tête. Et surtout, entendez-moi bien,
l’endoctrinement, il ne sait pas ce que c’est !